Je m?appelle Karim (lailatvx), j?ai 32ans, mon épouse Nadia (Nadine pour les intimes) a 26 ans. Mais en plus, elle a un physique qui la fait paraître encore plus jeune, c?est donc avec bonheur qu?elle s?habille sexy. Oui, autant le dire tout de suite, j?adore quand ma femme est habillée sexy. J?adore quand les autres hommes la regardent, la désirent. Je vais peut-être en choquer quelques-uns qui penseront que ce n?est pas normal, mais j?adore aussi quand ma femme s?offre à d?autres. Donc, on peut dire que je suis un cocu heureux. Je suis bien incapable de dire pourquoi j?aime ça, mais comme Nadine s?est faite à cette idée et qu?elle y trouve son plaisir aussi, on continue sur cette voie.
Cela fait maintenant presque 3 ans que Nadine a eu son premier amant, et je m?en souviens encore comme si c?était hier. C?était un petit jeune qui l?avait invitée à danser dans une boîte, et, quand il lui a fait des avances, Nadine s?est laissée faire. Assis à quelques mètres, je les voyais danser sur la piste, je voyais l?homme la serrer, faire glisser ses mains sur son corps et, quand je croisais le regard de ma femme, je voyais son regard brillant de malice, un peu surprise d?oser se laisser faire, mais visiblement heureuse de m?offrir ces instants. Je voyais l?homme lui murmurer à l?oreille, lui arrachant quelques sourires, et, quand sa tête s?est penchée vers elle, elle n?a pas dérobé ses lèvres. Leur baiser a duré de longues minutes, au rythme de la danse.
Je ne comprenais pas pourquoi, mais j?étais heureux, follement excité du plaisir que ma femme me donnait par personne interposée. J?imaginais sa langue s?insinuant entre les lèvres de ma femme, je voyais ses mains de plus en plus entreprenantes dans leur étreinte? Ma plus grande surprise fut de voir Nadine revenir à notre table après la série de slows? revenir en tenant l?inconnu par la main ! Elle me le présenta ? Philippe, un Français en vacances au Maroc - et elle fit signe à l?homme de se glisser sur la banquette. Elle prit place à côté de lui, se lovant dans ses bras. Je ne savais pas du tout ce qu?elle lui avait dit. Je lui tendis un verre et assistai, impuissant, à la progression de celui qui allait me faire cocu. Après coup, Nadine m?avoua qu?elle lui avait bien dit que j?étais son mari, mais que j?étais très libéral ! C?est le cas de le dire ! Toujours est-il qu?il ne s?en est pas formalisé. Elle avoua aussi que, par peur de ne pas aller jusqu?au bout cette fois-ci aussi (cela faisait déjà 3 fois qu?elle s?était laissée draguer en boîte, mais, à chaque fois, après quelques caresses, elle avait renoncé) elle s?était jetée comme quand on se lance dans le vide, avec l?envie d?aller de l?avant, quoi qu?il se passe. L?homme continuait à l?embrasser et glissait sa main sous le chemisier, vers les seins qui pointaient fièrement dessous. À travers le tissu, je pouvais deviner sa main qui enrobait ses mamelons, qui en titillait les pointes. Je n?avais jamais vu ma femme dans cet état, elle semblait comme électrisée, ses yeux brillaient comme jamais. Je sentais dans son regard comme un défi, c?est comme si elle avait voulu me dire :
-Regarde ! C?est toi qui l?as voulu ! Et bien tu vois, j?ose ! Ça t?étonne, hein ?
L?homme finit même par poser une main sur sa cuisse, puis la remonta sous la jupe. Nadine le laissait faire, presque indécente par sa manière d?ouvrir les cuisses aux caresses. J?en avais rêvé, mais je ne pensais pas un jour assister à ça. C?était juste des histoires qu?on se racontait sur l?oreiller, une manière de rechercher une excitation spéciale. La scène a duré, duré? J?ai fini mon verre, j?en ai pris un autre. J?arrivais à voir par moments la dentelle du string de ma femme et à deviner les doigts glissés dessous. Nadine prenait même si peu de précautions que je n?étais pas le seul à profiter du spectacle. Je voyais les hommes assis à la table voisine, leur regard dirigé vers l?entrecuisse de ma femme. Et puis le charme s?est arrêté ! L?homme a glissé quelques mots à l?oreille de ma femme. Nadine m?a regardé, il y a eu comme une minute de silence (enfin, silence dans ma tête !), car la musique continuait, toujours aussi assourdissante. Nadine s?est penchée vers moi en faisant le mouvement de se lever. Et j?ai entendu ces quelques mots :
-On sort quelques minutes !
Ben voilà ! C?était décidé. Nadine allait jusqu?au bout de ma folie. Le « cocu dans les rêves » allait vraiment le devenir ! J?étais comme paralysé. Je les regardais s?éloigner dans la foule. J?hésitais, j?hésitais encore. Qu?est-ce que je devais faire ? Me lever et les suivre pour voler cet instant intime qu?ils allaient s?offrir ? Ou alors, attendre, attendre de longues minutes et penser à ce qu?ils pouvaient bien faire. Mais plus je pensais à ça et plus je restais immobile pour finalement me dire que je n?avais plus le choix, ne sachant pas où ils s?étaient dirigés ! Je suis resté presque une heure à attendre.
Quand enfin j?ai vu ma femme revenir, seule, j?avais l?impression de la redécouvrir ; il se dégageait d?elle un je-ne-sais-quoi, elle semblait rayonner de plaisir, de bonheur.
C?était comme quelqu?un qui avait brisé toutes les chaînes, tous les tabous qui l?habitaient. Et qui, soudainement, se sentait libre. Avec un large sourire, elle reprit sa place, face à moi. Et d?une petite voix coquine, elle me dit :
-Ça va ? Je n?ai pas été trop longue ?
-? (Je ne pouvais répondre que par un sourire !)
-Merci, chéri ! Tu sais, je t?adore !
-Je sais, moi aussi je t?adore. Tu m?as donné la plus forte preuve d?amour, ma chérie !
-Tu as aimé alors ?
-Bien sûr ! J?ai même adoré !
-(rire malicieux)? moi aussi, c?était bien. Tu avais raison.
-Raison pour quoi ?
-Quand tu me disais qu?il fallait que j?ose.
-Ah, oui, c?est vrai?
Entre ses cuisses légèrement entrouvertes, je pouvais voir que ma femme n?avait plus sa culotte. Je pouvais même deviner son excitation à l?humidité brillante de sa fente bien lisse. J?imaginais l?homme y glisser son zob, la remplir de sa semence?
-Et tu aurais envie de le refaire ?
-Ben?, ça dépend de toi ! Si tu es toujours d?accord, bien sûr.
Bien sûr que j?étais d?accord ! Je ne demandais même que ça ! J?avais enfin la femme que je souhaitais dans tous mes rêves.
Je compris vraiment à quel point cette soirée avait changé Nadine. Timide sur les choses du sexe, voilà qu?elle se mettait à en parler comme si elle ne pensait qu?à ça. Elle me glissait à l?oreille des mots du style :
-Tu as vu ce mec ? Pas mal, hein ? Tu aimerais qu?il me saute, hein ?
Ou alors :
-À mon petit mari cocu, tu es content d?avoir une femme comme moi?
Le mot « cocu » lui plaisait particulièrement. Ce n?était pas du tout méchant, peut-être un peu moqueur, mais surtout elle savait que c?était moi qui l?avais voulu et donc que j?aimais cette sensation et que, chaque fois qu?elle employait ce mot, ces sensations se ravivaient.
Après cette soirée, je n?ai pas eu à le redemander à Nadine. Nous sommes retournés 4 ou 5 fois en boîte et, à chaque fois, Nadine me cocufiait de plus belle.
Et puis, il y a eu les vacances. Nous avions loué un petit appartement sur la côte de Témara, non loin de Rabat. Là, elle s?est vraiment éclatée.
Le meilleur, c?est quand, un après-midi, elle est partie faire quelques boutiques. Moi, j?en ai profité aussi pour aller faire un tour. Quand je suis rentré, Nadine était déjà là. Mais dans la chambre? et en compagnie. Par la porte entrebâillée, je pouvais les voir, nus sur le lit. Je ne vous dis pas le choc que cela m?a fait.
Discrètement, je suis rentré et j?ai refermé la porte de l?appartement, puis je me suis dirigé vers le salon en faisant le moins de bruit possible ; je me suis servi un whisky, y mettant même une forte dose de glaçons pour éteindre le feu qui semblait remplir mon corps. Et j?ai attendu, attendu et entendu?
Je ne savais pas que Nadine pouvait être aussi bruyante en amour ; je suis resté une bonne demi-heure comme cela ; enfin, j?ai vu la porte s?ouvrir et ma femme nue apparaître dans la pièce.
-Ah, tu es rentré, chéri ?
-Oui, je viens d?arriver.
-(tirant le mec par la main pour le faire rentrer dans le salon aussi) C?est Salem. Je l?ai rencontré cet après-midi? Mon mari?
-Bonjour.
-Bonjour.
Il était aussi nu qu?elle et, la situation l?ayant pris au dépourvu, il ne savait pas où se mettre. En tout cas, il était bien monté !
-Je vous sers un verre ?
-Volontiers?, je vais m?habiller un peu avant.
Nadine était ravie de cette situation, enchantée de l?avoir provoqué. Parce qu?il n?y avait aucun doute, le coup était bien prémédité. Par contre, c?était évident qu?elle n?avait pas prévenu son amant.
Salem est revenu, habillé et un peu gêné, et a pris place à la table du salon. Je lui ai tendu un verre. Toujours aussi nue, Nadine s?est assise à côté de lui, lui passant un bras autour des épaules, et nous raconta comment ils s?étaient rencontrés. Salem était à la terrasse d?un bar lorsqu?elle est passée devant lui. Il lui a proposé de boire un verre avec elle ; comme elle le trouvait très mignon, elle a accepté? et puis elle a trouvé que ce serait plus sympa s?il venait le boire à la maison?
-Dis, mon chéri, ça ne te dérange pas si je sors ce soir ? Salem m?a proposé de me sortir en boîte?
-Mais bien sûr ! Pas de problème, je t?attendrai à la maison.
-Bon, alors, si vous êtes d?accord, je ne vous la ramènerai pas trop tard?.
Pas trop tard ! Il était quand même 4 heures du matin quand Nadine est venue s?allonger à côté de moi ; elle avait dû encore faire l?amour juste avant de rentrer. Je sentais l?odeur caractéristique, je devinais le foutre encore dans son ventre. Je n?ai pas pu résister à lui faire l?amour aussi, à me mélanger à sa semence. Mon sexe est rentré sans effort dans ce ventre que Salem avait si bien préparé. Sensation vraiment bizarre que de sentir mon membre se glisser, se baigner dans ce foutre. Je ressentais vraiment le plaisir du cocu qui, au plus profond de sa femme, sent les traces du passage de l?autre.
Salem est revenu pratiquement tous les jours de notre séjour. On a même fait quelques sorties ensemble : restaurant, plage, boîte. Et, à chaque fois, Nadine se mettait au plus près de lui. Je le voyais, il était fier de s?exhiber avec elle et, comme il me l?a avoué, ça l?excitait aussi de se faire ma femme sous mes yeux. Il lui a même demandé d?être encore plus sexy dans ses tenues et il l?avait incitée à ne plus porter de culotte. Il se rendait bien compte que je ne demandais que cela, toujours exhiber un peu plus ma femme.
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Je m?appelle Karim (lailatvx), j?ai 32ans, mon épouse Nadia (Nadine pour les intimes) a 26 ans. Mais en plus, elle a un physique qui la fait paraître encore plus jeune, c?est donc avec bonheur qu?elle s?habille sexy. Oui, autant le dire tout de suite, j?adore quand ma femme est habillée sexy. J?adore quand les autres hommes la regardent, la désirent. Je vais peut-être en choquer quelques-uns qui penseront que ce n?est pas normal, mais j?adore aussi quand ma femme s?offre à d?autres. Donc, on peut dire que je suis un cocu heureux. Je suis bien incapable de dire pourquoi j?aime ça, mais comme Nadine s?est faite à cette idée et qu?elle y trouve son plaisir aussi, on continue sur cette voie. Cela fait maintenant presque 3 ans que Nadine a eu son premier amant, et je m?en souviens encore comme si c?était hier. C?était un petit jeune qui l?avait invitée à danser dans une boîte, et, quand il lui a fait des avances, Nadine s?est laissée faire. Assis à quelques mètres, je les voyais danser sur la piste, je voyais l?homme la serrer, faire glisser ses mains sur son corps et, quand je croisais le regard de ma femme, je voyais son regard brillant de malice, un peu surprise d?oser se laisser faire, mais visiblement heureuse de m?offrir ces instants. Je voyais l?homme lui murmurer à l?oreille, lui arrachant quelques sourires, et, quand sa tête s?est penchée vers elle, elle n?a pas dérobé ses lèvres. Leur baiser a duré de longues minutes, au rythme de la danse. Je ne comprenais pas pourquoi, mais j?étais heureux, follement excité du plaisir que ma femme me donnait par personne interposée. J?imaginais sa langue s?insinuant entre les lèvres de ma femme, je voyais ses mains de plus en plus entreprenantes dans leur étreinte? Ma plus grande surprise fut de voir Nadine revenir à notre table après la série de slows? revenir en tenant l?inconnu par la main ! Elle me le présenta ? Philippe, un Français en vacances au Maroc - et elle fit signe à l?homme de se glisser sur la banquette. Elle prit place à côté de lui, se lovant dans ses bras. Je ne savais pas du tout ce qu?elle lui avait dit. Je lui tendis un verre et assistai, impuissant, à la progression de celui qui allait me faire cocu. Après coup, Nadine m?avoua qu?elle lui avait bien dit que j?étais son mari, mais que j?étais très libéral ! C?est le cas de le dire ! Toujours est-il qu?il ne s?en est pas formalisé. Elle avoua aussi que, par peur de ne pas aller jusqu?au bout cette fois-ci aussi (cela faisait déjà 3 fois qu?elle s?était laissée draguer en boîte, mais, à chaque fois, après quelques caresses, elle avait renoncé) elle s?était jetée comme quand on se lance dans le vide, avec l?envie d?aller de l?avant, quoi qu?il se passe. L?homme continuait à l?embrasser et glissait sa main sous le chemisier, vers les seins qui pointaient fièrement dessous. À travers le tissu, je pouvais deviner sa main qui enrobait ses mamelons, qui en titillait les pointes. Je n?avais jamais vu ma femme dans cet état, elle semblait comme électrisée, ses yeux brillaient comme jamais. Je sentais dans son regard comme un défi, c?est comme si elle avait voulu me dire : -Regarde ! C?est toi qui l?as voulu ! Et bien tu vois, j?ose ! Ça t?étonne, hein ? L?homme finit même par poser une main sur sa cuisse, puis la remonta sous la jupe. Nadine le laissait faire, presque indécente par sa manière d?ouvrir les cuisses aux caresses. J?en avais rêvé, mais je ne pensais pas un jour assister à ça. C?était juste des histoires qu?on se racontait sur l?oreiller, une manière de rechercher une excitation spéciale. La scène a duré, duré? J?ai fini mon verre, j?en ai pris un autre. J?arrivais à voir par moments la dentelle du string de ma femme et à deviner les doigts glissés dessous. Nadine prenait même si peu de précautions que je n?étais pas le seul à profiter du spectacle. Je voyais les hommes assis à la table voisine, leur regard dirigé vers l?entrecuisse de ma femme. Et puis le charme s?est arrêté ! L?homme a glissé quelques mots à l?oreille de ma femme. Nadine m?a regardé, il y a eu comme une minute de silence (enfin, silence dans ma tête !), car la musique continuait, toujours aussi assourdissante. Nadine s?est penchée vers moi en faisant le mouvement de se lever. Et j?ai entendu ces quelques mots : -On sort quelques minutes ! Ben voilà ! C?était décidé. Nadine allait jusqu?au bout de ma folie. Le « cocu dans les rêves » allait vraiment le devenir ! J?étais comme paralysé. Je les regardais s?éloigner dans la foule. J?hésitais, j?hésitais encore. Qu?est-ce que je devais faire ? Me lever et les suivre pour voler cet instant intime qu?ils allaient s?offrir ? Ou alors, attendre, attendre de longues minutes et penser à ce qu?ils pouvaient bien faire. Mais plus je pensais à ça et plus je restais immobile pour finalement me dire que je n?avais plus le choix, ne sachant pas où ils s?étaient dirigés ! Je suis resté presque une heure à attendre. Quand enfin j?ai vu ma femme revenir, seule, j?avais l?impression de la redécouvrir ; il se dégageait d?elle un je-ne-sais-quoi, elle semblait rayonner de plaisir, de bonheur. C?était comme quelqu?un qui avait brisé toutes les chaînes, tous les tabous qui l?habitaient. Et qui, soudainement, se sentait libre. Avec un large sourire, elle reprit sa place, face à moi. Et d?une petite voix coquine, elle me dit : -Ça va ? Je n?ai pas été trop longue ? -? (Je ne pouvais répondre que par un sourire !) -Merci, chéri ! Tu sais, je t?adore ! -Je sais, moi aussi je t?adore. Tu m?as donné la plus forte preuve d?amour, ma chérie ! -Tu as aimé alors ? -Bien sûr ! J?ai même adoré ! -(rire malicieux)? moi aussi, c?était bien. Tu avais raison. -Raison pour quoi ? -Quand tu me disais qu?il fallait que j?ose. -Ah, oui, c?est vrai? Entre ses cuisses légèrement entrouvertes, je pouvais voir que ma femme n?avait plus sa culotte. Je pouvais même deviner son excitation à l?humidité brillante de sa fente bien lisse. J?imaginais l?homme y glisser son zob, la remplir de sa semence? -Et tu aurais envie de le refaire ? -Ben?, ça dépend de toi ! Si tu es toujours d?accord, bien sûr. Bien sûr que j?étais d?accord ! Je ne demandais même que ça ! J?avais enfin la femme que je souhaitais dans tous mes rêves. Je compris vraiment à quel point cette soirée avait changé Nadine. Timide sur les choses du sexe, voilà qu?elle se mettait à en parler comme si elle ne pensait qu?à ça. Elle me glissait à l?oreille des mots du style : -Tu as vu ce mec ? Pas mal, hein ? Tu aimerais qu?il me saute, hein ? Ou alors : -À mon petit mari cocu, tu es content d?avoir une femme comme moi? Le mot « cocu » lui plaisait particulièrement. Ce n?était pas du tout méchant, peut-être un peu moqueur, mais surtout elle savait que c?était moi qui l?avais voulu et donc que j?aimais cette sensation et que, chaque fois qu?elle employait ce mot, ces sensations se ravivaient. Après cette soirée, je n?ai pas eu à le redemander à Nadine. Nous sommes retournés 4 ou 5 fois en boîte et, à chaque fois, Nadine me cocufiait de plus belle. Et puis, il y a eu les vacances. Nous avions loué un petit appartement sur la côte de Témara, non loin de Rabat. Là, elle s?est vraiment éclatée. Le meilleur, c?est quand, un après-midi, elle est partie faire quelques boutiques. Moi, j?en ai profité aussi pour aller faire un tour. Quand je suis rentré, Nadine était déjà là. Mais dans la chambre? et en compagnie. Par la porte entrebâillée, je pouvais les voir, nus sur le lit. Je ne vous dis pas le choc que cela m?a fait. Discrètement, je suis rentré et j?ai refermé la porte de l?appartement, puis je me suis dirigé vers le salon en faisant le moins de bruit possible ; je me suis servi un whisky, y mettant même une forte dose de glaçons pour éteindre le feu qui semblait remplir mon corps. Et j?ai attendu, attendu et entendu? Je ne savais pas que Nadine pouvait être aussi bruyante en amour ; je suis resté une bonne demi-heure comme cela ; enfin, j?ai vu la porte s?ouvrir et ma femme nue apparaître dans la pièce. -Ah, tu es rentré, chéri ? -Oui, je viens d?arriver. -(tirant le mec par la main pour le faire rentrer dans le salon aussi) C?est Salem. Je l?ai rencontré cet après-midi? Mon mari? -Bonjour. -Bonjour. Il était aussi nu qu?elle et, la situation l?ayant pris au dépourvu, il ne savait pas où se mettre. En tout cas, il était bien monté ! -Je vous sers un verre ? -Volontiers?, je vais m?habiller un peu avant. Nadine était ravie de cette situation, enchantée de l?avoir provoqué. Parce qu?il n?y avait aucun doute, le coup était bien prémédité. Par contre, c?était évident qu?elle n?avait pas prévenu son amant. Salem est revenu, habillé et un peu gêné, et a pris place à la table du salon. Je lui ai tendu un verre. Toujours aussi nue, Nadine s?est assise à côté de lui, lui passant un bras autour des épaules, et nous raconta comment ils s?étaient rencontrés. Salem était à la terrasse d?un bar lorsqu?elle est passée devant lui. Il lui a proposé de boire un verre avec elle ; comme elle le trouvait très mignon, elle a accepté? et puis elle a trouvé que ce serait plus sympa s?il venait le boire à la maison? -Dis, mon chéri, ça ne te dérange pas si je sors ce soir ? Salem m?a proposé de me sortir en boîte? -Mais bien sûr ! Pas de problème, je t?attendrai à la maison. -Bon, alors, si vous êtes d?accord, je ne vous la ramènerai pas trop tard?. Pas trop tard ! Il était quand même 4 heures du matin quand Nadine est venue s?allonger à côté de moi ; elle avait dû encore faire l?amour juste avant de rentrer. Je sentais l?odeur caractéristique, je devinais le foutre encore dans son ventre. Je n?ai pas pu résister à lui faire l?amour aussi, à me mélanger à sa semence. Mon sexe est rentré sans effort dans ce ventre que Salem avait si bien préparé. Sensation vraiment bizarre que de sentir mon membre se glisser, se baigner dans ce foutre. Je ressentais vraiment le plaisir du cocu qui, au plus profond de sa femme, sent les traces du passage de l?autre. Salem est revenu pratiquement tous les jours de notre séjour. On a même fait quelques sorties ensemble : restaurant, plage, boîte. Et, à chaque fois, Nadine se mettait au plus près de lui. Je le voyais, il était fier de s?exhiber avec elle et, comme il me l?a avoué, ça l?excitait aussi de se faire ma femme sous mes yeux. Il lui a même demandé d?être encore plus sexy dans ses tenues et il l?avait incitée à ne plus porter de culotte. Il se rendait bien compte que je ne demandais que cela, toujours exhiber un peu plus ma femme.