Sur la ville de Toulouse.
J' adore etre a genoux sucer a fond et me faire jouir sur la gueule ou me
faire bz a 4 pattes en plan direct et discret .
Je recois quartier st cyprien les abattoirs a Toulouse en plan direct et
discret .
Pour mec 18-30 ans , black, beur ,arabe ... bienvenu max 30 ans .
TEL 06 08 75 59 14 . yann 39 ans .
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COUCOU31300@LAPOSTE.NET
Je recherche plan coquin avec homme ou femme pour un trio avec mon copain, je suis joignable sur mon tel pro au 0899236799.(Pervers et plaisantins passez votre chemin...)
J'allais avoir seize ans, nous étions fin septembre, la rentrée scolaire approchait...
Mon père était chauffeur de poids lourds, il voyageait beaucoup et je ne le voyais qu?une fois par semaine. Je restais souvent seul avec ma mère, dans la petite maison où nous passions traditionnellement nos vacances. Maman en avait hérité de ses parents à la mort de ma grand-mère, huit ans plus tôt. Ma mère avait épousé mon père de presque 30 ans son aîné. Subitement, je réalisais qu'elle n'avait que dix huit ans à ma naissance; elle était donc « tombée enceinte » suivant l'expression consacrée à dix sept ans...
À part cela, en ce qui concernait le sexe, mes connaissances étaient succinctes. Tout au plus en fin de cinquième, j'avais appris de copains plus avancés que moi l'existence d'un « liquide visqueux et blanchâtre » que l'on pouvait libérer en se « branlant ».
La nuit suivante j'avais aussitôt tenté l'expérience... Et dessiné ma première « carte du Maroc » dans mes draps. La sensation que j'en avais retirée m'ayant procuré une certaine forme de plaisir, depuis, je me « branlais » presque toutes les nuits.
Avec le temps j'éprouvais le besoin de passer à un stade supérieur, et depuis une semaine que nous étions seuls, je passais mon temps à épier les moindres gestes de ma mère. Le matin après le petit déjeuner, comme d'habitude je m'éclipsais pour rejoindre mes copains, sauf...
Que depuis le début de la semaine, je n'allais nulle part, mais attendais que maman s'enferme dans sa chambre pour faire sa toilette et s'habiller. En passant par le jardin, je me faufilais jusqu'à un poste « guet » d'où je pouvais observer l'intérieure de cette chambre. Grâce au jeu combiné de l'armoire à glace et d'un autre miroir, peu de détails échappaient à ma curiosité.
Généralement maman se mettait « à poil » pour procéder à sa toilette. Le premier jour, j'avais été subjugué en la reluquant ainsi. Ses « doudounes » étaient comme celles des filles que j'avais pu voir sur les magazines « cochons » de mes camarades. Mais le bas de son ventre était lui tout différent. Une touffe de poils noirs, bien plus importante que celle qui encadrait maintenant ma « bite ». Elle se lavait cet endroit à l'aide d'un gant de toilette et parfois s'accroupissait sur un « bidet » en émail qu'elle remplissait préalablement d'eau avec un broc.
Dès le deuxième jour, j'avais ouvert ma braguette et je me livrais activement à une branlette effrénée. Après quatre jours de ce régime j'avais décidé de passer à un stade supérieur et improvisais un plan pour passer à l'action.
La nuit suivante, j'attendis donc fiévreusement les douze coups de minuit... Alors, entièrement nu, je traversais notre logis à pas de loup et me glissais secrètement dans la lit de ma mère...
Doucement, tout doucement, je glissais ma main sous sa chemise de nuit. Au toucher de sa peau douce et tiède ma « bite » était entrée en éveil, mais dès que j'eus atteint sa toison, j'eus l'impression qu'elle était devenue aussi dure qu'une barre de fer!
A ma grande satisfaction, je sentis la pression de ses cuisses se relâcher. Mon c?ur battait à tout rompre. J'essayais de me frayer un passage entre les poils frisés, craignant à tout instant le réveil maternel.
À la seconde ou mon majeur avait finalement trouvé un « passage » à travers les poils et découvert l'orée du bonheur, maman s'éveilla.
- C'est toi mon petit Karim, mais que fais-tu?
Ma gorge se noua. Que dire, que faire, que répondre... J'optais pour la force: je retirais promptement ma main et pris ma mère à bras le corps.
- Mais que fais-tu mon chéri? Tu es tout nu! Et ... Oh tu... Tu es tout dur...
- Pardon maman, je ne voulais pas te faire du mal...
Et je m'apprêtais à fuir tout honteux, mais comme je la tenais toujours fermement enlacé, les déhanchements qu'elle exécutait pour tenter de se dégager ne contribuèrent qu'à porter mon excitation au paroxysme, mon sexe turgescent était terriblement douloureux.
- Qu'est-ce qui te prend mon petit garçon? Arrête, je suis ta maman...
Finalement, je finis par balbutier: Je voulais juste savoir... Je ne suis plus un bébé maman chérie, je te demande pardon.
Et improvisant, je glissais ma tête sous les draps pour poser mes lèvres sur son « minou » pensant y déposer un baiser pour me faire pardonner.
J'avais ainsi maintenant le nez dans sa touffe. L'odeur qui en émanait décupla mon désir. J'étais comme enivré par l'effluve. Je m?efforçais un passage entre ses cuisses, l'obligeant à les ouvrir largement. Mes lèvres déposent dix, cents baisers sur cette motte interdite. Sa résistance faiblit à l'instant, ou d'instinct ma langue s'enhardit et entrant en mouvement, écarta sa « fente ».
Maman abandonnant toute velléité de résistance, releva ses jambes. Ma tête est maintenant bien installée et ma langue qui a terminé son ?uvre de pénétration s'active dans cette « grotte » subitement toute humide et bien ouverte.
Je me redressais aussi rapidement que je le pus, sans brusquer et m'installais sur cette femelle qui se soumettait.
Mon zob trouva sa place, et je le sentis s'enfoncer tel un épieu.
Émoi, douce sensation, l'instinct, l'inné, commandait à mes reins d'entrer en mouvement. J'allais et venais. Tel un piston de chair mon zob s'activa dans la matrice maternelle dont il avait pris possession de force.
Bien qu'elle n?offre plus le moindre signe de résistance, j'éprouvais le besoin d'emprisonner fermement ses poignets pour lui faire comprendre qu'elle était totalement sous ma domination.
Je n'étais plus son petit garçon, mais un jeune mâle forçant une femelle, sa première femelle! Elle était « prise », et elle le savait, elle savait mieux que moi quelle serait la conclusion de cette copulation. J'exultais des sensations qui parcourant ma « bite » en action, remontaient au plus profond de moi. J'étais fort et instinctivement j'avais besoin de lui faire sentir.
Combien de temps cela dura-t-il, j'avais perdu la notion de temps. Je sentis, je pressentis que quelque chose allait exploser. La « jute » dont je maculais mes draps auparavant, la nuit précédente encore, cette « jute » giclait maintenant en longs jets dans l'utérus accueillant de ma petite maman!
Je réalisais que je l'avais totalement possédée, soumise. Et je jouissais en elle, je venais de jouir. J'étais enfin un homme!
Peu à peu, je suis revenu sur terre. Grisé. J'avais baisé une femme. Je m'affalais sur son corps, ivre de plaisir. Je réalisais soudain que vaincue, elle m'étreignait, tendrement, murmurant à mon oreille des mots d'amour, de tendresse, de pardon, pour calmer l'angoisse, le remord qu'elle devinait monter en moi.
Elle me demanda si j'étais heureux, elle ne me parla pas de honte. Je feignis la repentance, alors qu'à cet instant je n'en éprouvais absolument aucune: j'étais délivré de l'angoisse de l'adolescent.
Nous restâmes enlacés, peu a peu mon sexe, redevint flasque et ressortit, tout gluant du sien...
Le jour se levait. Je m'éveillais, ma mère était toujours là, tout contre moi, nue. Ses beaux yeux noisette, ouverts n'exprimaient aucun reproche, elle me sourit.
- Je t'aime, me dit-elle simplement.
- Moi aussi maman.
- Es-tu heureux maintenant? Alors viens. Viens mon chéri!
Elle m'attire sur elle. Elle s'offre: Soit gentil, sois doux, mon petit chéri, cette fois. Mais baise-moi, baise-moi fort, très fort mon petit homme chéri. J?ai soif et faim de sexe ! Tu sais, ton père n?a plus la force de me satisfaire, il ne bande plus !
Il fait presque jour, son corps est tiède je l'enlace, la couvre de baisers amoureux. Quelle est belle ! Ses beaux seins généreux aux larges aréoles sombres attirent mes lèvres. Je les suce, alternativement. Ses tétons durcissent, tout comme mon « membre » qu'elle dirige vers sa « chatte » elle me guide en elle. Je me laisse faire. Mon désir monte à nouveau. Lentement, timidement je lui fais l'amour.
Elle m'encourage, me flatte. Peu à peu son vocabulaire chaste fait la place à des encouragements crus. Elle me félicite de la taille de ma « queue » en criant : « ondule sous moi, commande, exige ! Allez, défonce-moi, déchire-moi, Tu es fort, tu le peux, je sais que c'est ce que tu veux mon salaud... Je suis ta femme, ta pute et toi mon amant, mon mari ... Tu me tiens par la queue. Aaahhhh.....! Oui! Oh ouiiiii... »
Je lui donnais ce qu'elle voulait, je la défonçais, à sa demande, de grands coups de boutoir. J'empoignais ses seins, les pétrissais. Et quand je le pouvais compte tenu de la cadence qu'elle exigeait, je me dressais pour tenter d'apercevoir ma queue si bien empalée qui ramonait sa moule chaude et gluante, ce chibre qui s'agitait frénétiquement. Cette fois nous étions deux amants dominés par leurs seuls désirs de jouissance. Elle noua ses jambes derrière mes reins, m'immobilisant au moment ou j'éclatais, ou je « jutais ». Mon foutre jaillit à nouveau au fond de sa vulve.
Nous nous écroulâmes ensemble, épuisés. Avant de m'affaler, je me demandais comment ce petit bout de femme, si douce, si aimante pouvait devenir dans l'action, cette furie en chaleur.
Je me réveillais seul, cette fois vers neuf heures et demie. Maman était en train de procéder à ses ablutions quotidiennes. Détail que je n'avais jamais capté auparavant, à califourchon sur le fameux petit bidet émaillé, elle se lavait le vagin en y enfonçant une grosse canule reliée à une énorme poire en caoutchouc.
Depuis cet événement, j?ai déserté la chambre qui m'était dévolu habituellement, et m'étais définitivement installé dans « le lit conjugal ». Sans exagération, nous baisions au rythme de deux à trois coups, l'après-midi, autant et même jusqu'à cinq fois la nuit!
on peut changer de femme,mais pas de mere!ma mere m a porté dans son ventre 9 mois a qq jrs pres,elle a tant souffert!meme en me donnant naaissannce!depuis que ce salop de pere a moi l a quittée pour une pute,c est moi qui lui donne tout le plaisir qu elle veut.elle le mérite ou pas?que ceux qui pensent que c est tabou me le prouvent!je suis une partie d elle.quel mal ya til a faire l amour avec sa mere?aucune femme ne se donnerat a son amant comme le fait la maman a son fils...que ceux qui sont dubitatifs tentent la chose...
Petit cochon !
Mon mari ne me baise pas. Je recherche un chat sexuel. Discutez avec moi maintenant: https://ujeb.se/Op1B70
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Venez matter mes photos coquine sur mon blog http://xaviertoutnu.blogspot.com/ merci